Les années RCM

L’occasion du 40^e anniversaire et l’état de santé de Jean Doré ont été des catalyseurs qui ont servis à regrouper spontanément des personnes qui sont toujours habitées par l’expérience du RCM. Le devoir de mémoire se poursuit.

Nous rendons disponibles les contributions suivantes :

Un bilan des réalisations du RCM réalisé par André Lavallée

Ce document de 18 pages constitue une synthèse unique et une référence pour comprendre ce qui a mobilisé l’administration RCM de Montréal sous la direction du maire Jean Doré et ce qui en a résulté.

Trois enregistrements vidéo d’entretiens avec Jean Doré

• Léa Cousineau évoque avec Jean Doré les alliances et les démarches qui ont conduit à la création du parti du Rassemblement des citoyens et citoyennes de Montréal. Jean Doré se rappelle le contexte de sa décision d’assumer la prise en charge de la conquête du pouvoir à l’hôtel-de-ville.
  

• André Lavallée passe en revue avec Jean Doré les grands dossiers d’aménagement du territoire et les gestes qui ont été posés pour conduire à des réalisations concrètes.
  

• Hubert Simard explore avec Jean Doré les résultats de son approche collaborative dans les dossiers régionaux avec la Communauté urbaine de Montréal. (transport en commun, police, environnement, aménagement du territoire, parcs régionaux).
  

Deux enregistrements vidéo avec des acteurs des années RCM

• Le politologue Henry Milner a fait partie du groupe d’anglophones progressistes qui ont contribué au lancement du RCM en 1974. Il rappelle comment les instances syndicales de l’époque ont oeuvré de manière à créer un espace politique où indépendantistes et anglophones ont travaillé ensemble sur des enjeux de démocratie, de services et de qualité de vie à Montréal.
  

• Richard Brunelle et Stella Anasthasakis. Richard Brunelle a été adjoint au maire au cours du premier mandat. Il a secondé le maire dans des initiatives vitales comme la revendication de la participation du gouvernement fédéral au financement des infrastructures municipales. Membre du comité exécutif au deuxième mandat, il a assumé la responsabilité des travaux publics, de l’environnement et des équipements scientifiques. Stella Anasthasakis a été adjointe au caucus de l’opposition et elle a contribué à la transition au pouvoir. Au deuxième mandat, elle a travaillé comme adjointe de Richard Brunelle.